Erbalunga. Photo Jack Guerrier 2018
Nous voici à Erbalunga en bonne compagnie : Lydia, Nicole et Jacques le dalmatien, tous de Bastia. Tandis que les barques se balancent doucement dans le petit port, on se dit que tout est compliqué en Corse, gagner sa croûte, se soigner, accéder à la culture. L'attente auprès des politiques est mitigée. "Il y a les propres, il y a les sales ". L'indépendance de l'île serait une catastrophe pour les plus démunis. Allons boire un verre sous les platanes de la place ombragée adossée au Monte Stello. C'est ici qu'on refait le monde.
Jack Guerrier