
Guincho. Photo Jack Guerrier 2017 . Bonne journée à Tous !
Lire la suiteChêne-vert. Photo Jack Guerrier 2017. Chênes-verts. Courrez donc vers le ciel branches noires et vertes Accrochez les blancs nuages à vos hampes fières Les geais des chênes à l’orée du bois crient alertent Au profond de nos songes coule la rivière Métal...
Lire la suitePhoto Jack Guerrier 2017 Empreintes et mémoires abandonnées à la glaise La roche friable s’échappe sous la main La pensée enfouie dans le kaolin blanc Remonte du puits et s’étale sur la page J’entends le doux chant des voyelles de satin Il tinte comme...
Lire la suitePhoto Marie Dere 2017. Tournez manège,dansez chevaux de bois ne vous arrêtez pas dansez manège, tournez chevaux de bois faites-moi faire encore un tour une fois. Anonyme.
Lire la suitePhoto Martine Dalaison 2017. « Alors le bec vise un point dans le soleil basUn petit cercle à peine large comme un trou d'aiguilleMais juste assez pour qu'une fois encoreLa mémoire abîmée peut-êtreComme un chant de marins quand les motsFlottent encoreQuand...
Lire la suiteDessin Jack Guerrier 2017. Dans les zones hachurées sont cachés les armes Les violons les pots de miel les cerceaux Les mouchoirs rougis qui sècheront les larmes Des combattants perdus dans les taillis les vaux Qui cèdera la main dans la forêt de cèdres...
Lire la suitePhoto Jack Guerrier 2017. Si vous allez un jour au Havre Voir les grands peintres Penchez-vous sur les bassins Sur les navires Noyez-vous dans la brume de mer Perdez le sens de l’équilibre Danseront les embarcadères Dans la lumière des réverbères Dans...
Lire la suiteDessin Jack Guerrier 2017. Rien de sûr… Le long des rives posant le pied sur l’estran Je vois ces milliards d’animaux minuscules Ils ressemblent à l’éther aux fantômes blancs Hantent les cieux les ombres du crépuscule Leurs parures de sable et leurs danses...
Lire la suiteMouette rieuse. Photo Jack Guerrier 2017. Je ne sais pourquoi Je ne sais pourquoi Mon esprit amer D’une aile inquiète et folle vole sur la mer. Tout ce qui m’est cher, D’une aile d’effroi Mon amour le couve au ras des flots. Pourquoi, pourquoi ? Mouette...
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